blog 2 yacine

LE STRESS :
Le stress, l'angoisse, la dépression sont probablement les mots
qui reviennent le plus souvent dans les conversations pour
traduire les difficultés psycologique auxquelles nous sommes
quotidiennement confrontés.
Maisque recouvrent exactement ces termes ?
Existe- t-il un lien entre eux ?
Traduisent-ils quelque chose de nouveau ?
Si leur usage fréquent est récent, le mal qu'ils recouvrent est
aussi vieux que l'homme.
Le stress a toujour existé, il  était méme boucoup plus violent
autrefois, mais comme vous allez le voir, la la nouveauté, c'est
qu'il s'est déplacé.
Le stress phisiques qu'étaient la faim, la douleur, le froid ont
fait placee à des stess psycololgiques boucoup plus subtils,
mais, à la longue, tout aussi dangereux.
Quant à l'angoisse et à la dépression, jai appris  à les
reconnaitre sous leurs multiples visages et jai aujourd'hui les
moyens de les traiter et parfois de les prévenir grace a des
psy et des book.
Malgré deux définitions bien différentes du stress (réaction
de l'organisme à toute demande qui lui est faite) et de
l'angoisse (sorte de peur sans raison), ces deux troubles
sont étroitement mélés car tout stress s'accompagne
d'angoisse représente un stress avec toutes les conséquences
psycologiques que cela imlique.
Tous deux débouche sur les mémes pérturbations que sont les
maladies psycosomatiques.
La dépression nait de situations variées : si la dépression
d'épuisement est la coséquence directe du surmenage et de
l'ecés de stress, si la dépression réactionnlle apour élément
déclenchant un stress psycologique aigu comme le deuil, il
n'éxiste guére de relation entre le stress et la plus grave des
d'épressions : la méancolie.

LE STRESS :
J'appel un stress tout ce que nous considérons comme une
agression vis-à-vis de nous méme : un danger, une dispute,
une mauvaise nouvelle.
Selon le docteur Frédéric Vester, le mot stress recouvre
toutes les contraintes, tensions, émotions auxquelles le
bruit, la précipitation, les fustrations, la douleur, l'angoisse
de l'éxistance et autres mot soumettent quotidiennement
l'étre humain : autrement dit, ce terme traduit toutes les
forces, éfforts, tensions, distorsions, contraintes d'adaptation
qui nous mettent phisyquement et psychiquement sous préssion.
Cependant, le stress ne désigne pas seulement l'épreuve
que subit un organisme vivant du fait de son environnement,
mais encore le répense de l'organisme à l'épreuve.
C'est à Hans Selye, surnommé le (pére du stress) que nous
devons une définition encore plus générale, actuellement
reconnue comme la meilleur : (le stress est la réponce non
spécifique de l'organisme à toute demande qui lui est faite)
Cela signifie, d'une part, que le tress n'est pas forcément
quelque chose de négatif : il éxiste aussi de bons stress ou
eustress par opposition aux mauvais stress ou distress.
Une satisfaction sentimentale, une bonne nouvelle sont
aussi des stress.
D'autre part, cette définition fait ressortire que, quel que
soit le stress, bon ou mauvais, notre organisme réagira
par un mécanisme identique, avec les mémes stimulations
nerveuses, les méme sécrétions hormonale -

L'ANGOISSE :
Il est habituelle d'opposer les deux sentiments distincts
que sont la peur et l'angoisse.
La peur est une réaction émotionnelle qui nait en réponse
à une menace et qui est proportionnelle au danger
qu'elle représente.
IL est possible pour la personne de faire face à cette
menace en s'appuyant sur une réflection logique, en
faisant appel à ses réserves  émotionnelles et en
agissant de façon apropriée.
La peur est donc une réaction au danger à la fois normale
et salutaire qui permet de neutraliser ce danger.
Elle n'est justiciable d'aucun traitement.
Dans l'ongoisse, la réaction émotionnelle existe en l'absence
de toute menace ou inadaptée, sans rapport avecl'importance
réelle du danger (une sorte de peur sans raison.
Alor que dans boucoup de langue, anxiété et angoisse
sont confondues, le français applique ce dernier terme
aux manifestations somatiques qui peuvent accompagner
l'anxiété : palpitation, géné respiratioire, sensation de
boule dans la gorge, de noeud à l'estomac.
D'une façon beaucoup plus large, l'angoisse regroupe
les symptomes entrant dans le cadre de la médecine
psycosomatique.
Il faut reconnaitre que, dans la pratique, ces deux térmes
sont souvent employés indifféremment.

LA DEPRESSION :
la dépression est certainement le mot du vocabulaire
psychiatrique le plus répendu dans le public.
IL fait allusion à des périodes de décourragement
et de tristesse - sentiment que chaqun d'entre nous a déjà
resentis et qui sont donc parfaittement conpréhensibles -
alors que qualifier quelqu'un de névrosé ou de délirrant
donne une consonance péjorative évoquant la folie.
Pour le médecin, la dépression ne recouvre pas l'ensemble
des perturbation de l'humeur et du comportement mais
traduit un état psycologique trés précis ou dominent
douleur morale et perte de l'élan vital.
La douleur morale, en éfet, est au centre de la dépression .
Cet état de pessimiste globale s'accompagne d'un
sentiment d'infériorité, d'une de l'éstime de soi qui le
distingue de la simple tristesse .
La disparition de l'lan vital, que les psychiatres appellent
inhibition psycomotrice, se traduit par l'absece d'intérét
pour tous se qui compose habituellement notre vie :
les actes familier, les objets auxquels nous somme
normalement attachés, les personnes de notre entourage,
méme celles qui nous sont les plus chéres .
A se pessimisme et ce désinterét s'associent une lenteur
d'ésprit, un sentiment d'anxiété, de le fatigue, des troubles
du sommeil ey des douleur variées .
Tout cela aboutit à unétat de détresse qui fait naitr des
idées de suicide, pratiquement toujours présentes dans
un état dépressif .
Cette menace de mort fait toute la gravité de la dépression .
Un géste irréparable est d'autant plus regrettable qu'un
accées dépressif peut toujour guérir .
Ceci associé à l'immense douleur psycologique du
malade, justifie pleinement une sérieuse prise en charge .
La dépression est donc un déréglement de l'humeur
bien particulier, qui nécessite une assistance médicale
à l'inverse, il ne faudrait pas qualifier de tristesse,
de découragement passagers qui sont le lot de
chacun d'entre nous.

LE STRESS :
Le stress, l'angoisse, la dépression sont probablement les mots
qui reviennent le plus souvent dans les conversations pour
traduire les difficultés psycologique auxquelles nous sommes
quotidiennement confrontés.
Maisque recouvrent exactement ces termes ?
Existe- t-il un lien entre eux ?
Traduisent-ils quelque chose de nouveau ?
Si leur usage fréquent est récent, le mal qu'ils recouvrent est
aussi vieux que l'homme.
Le stress a toujour existé, il  était méme boucoup plus violent
autrefois, mais comme vous allez le voir, la la nouveauté, c'est
qu'il s'est déplacé.
Le stress phisiques qu'étaient la faim, la douleur, le froid ont
fait placee à des stess psycololgiques boucoup plus subtils,
mais, à la longue, tout aussi dangereux.
Quant à l'angoisse et à la dépression, jai appris  à les
reconnaitre sous leurs multiples visages et jai aujourd'hui les
moyens de les traiter et parfois de les prévenir grace a des
psy et des book.
Malgré deux définitions bien différentes du stress (réaction
de l'organisme à toute demande qui lui est faite) et de
l'angoisse (sorte de peur sans raison), ces deux troubles
sont étroitement mélés car tout stress s'accompagne
d'angoisse représente un stress avec toutes les conséquences
psycologiques que cela imlique.
Tous deux débouche sur les mémes pérturbations que sont les
maladies psycosomatiques.
La dépression nait de situations variées : si la dépression
d'épuisement est la coséquence directe du surmenage et de
l'ecés de stress, si la dépression réactionnlle apour élément
déclenchant un stress psycologique aigu comme le deuil, il
n'éxiste guére de relation entre le stress et la plus grave des
d'épressions : la méancolie.

LE STRESS :
J'appel un stress tout ce que nous considérons comme une
agression vis-à-vis de nous méme : un danger, une dispute,
une mauvaise nouvelle.
Selon le docteur Frédéric Vester, le mot stress recouvre
toutes les contraintes, tensions, émotions auxquelles le
bruit, la précipitation, les fustrations, la douleur, l'angoisse
de l'éxistance et autres mot soumettent quotidiennement
l'étre humain : autrement dit, ce terme traduit toutes les
forces, éfforts, tensions, distorsions, contraintes d'adaptation
qui nous mettent phisyquement et psychiquement sous préssion.
Cependant, le stress ne désigne pas seulement l'épreuve
que subit un organisme vivant du fait de son environnement,
mais encore le répense de l'organisme à l'épreuve.
C'est à Hans Selye, surnommé le (pére du stress) que nous
devons une définition encore plus générale, actuellement
reconnue comme la meilleur : (le stress est la réponce non
spécifique de l'organisme à toute demande qui lui est faite)
Cela signifie, d'une part, que le tress n'est pas forcément
quelque chose de négatif : il éxiste aussi de bons stress ou
eustress par opposition aux mauvais stress ou distress.
Une satisfaction sentimentale, une bonne nouvelle sont
aussi des stress.
D'autre part, cette définition fait ressortire que, quel que
soit le stress, bon ou mauvais, notre organisme réagira
par un mécanisme identique, avec les mémes stimulations
nerveuses, les méme sécrétions hormonale -

L'ANGOISSE :
Il est habituelle d'opposer les deux sentiments distincts
que sont la peur et l'angoisse.
La peur est une réaction émotionnelle qui nait en réponse
à une menace et qui est proportionnelle au danger
qu'elle représente.
IL est possible pour la personne de faire face à cette
menace en s'appuyant sur une réflection logique, en
faisant appel à ses réserves  émotionnelles et en
agissant de façon apropriée.
La peur est donc une réaction au danger à la fois normale
et salutaire qui permet de neutraliser ce danger.
Elle n'est justiciable d'aucun traitement.
Dans l'ongoisse, la réaction émotionnelle existe en l'absence
de toute menace ou inadaptée, sans rapport avecl'importance
réelle du danger (une sorte de peur sans raison.
Alor que dans boucoup de langue, anxiété et angoisse
sont confondues, le français applique ce dernier terme
aux manifestations somatiques qui peuvent accompagner
l'anxiété : palpitation, géné respiratioire, sensation de
boule dans la gorge, de noeud à l'estomac.
D'une façon beaucoup plus large, l'angoisse regroupe
les symptomes entrant dans le cadre de la médecine
psycosomatique.
Il faut reconnaitre que, dans la pratique, ces deux térmes
sont souvent employés indifféremment.

LA DEPRESSION :
la dépression est certainement le mot du vocabulaire
psychiatrique le plus répendu dans le public.
IL fait allusion à des périodes de décourragement
et de tristesse - sentiment que chaqun d'entre nous a déjà
resentis et qui sont donc parfaittement conpréhensibles -
alors que qualifier quelqu'un de névrosé ou de délirrant
donne une consonance péjorative évoquant la folie.
Pour le médecin, la dépression ne recouvre pas l'ensemble
des perturbation de l'humeur et du comportement mais
traduit un état psycologique trés précis ou dominent
douleur morale et perte de l'élan vital.
La douleur morale, en éfet, est au centre de la dépression .
Cet état de pessimiste globale s'accompagne d'un
sentiment d'infériorité, d'une de l'éstime de soi qui le
distingue de la simple tristesse .
La disparition de l'lan vital, que les psychiatres appellent
inhibition psycomotrice, se traduit par l'absece d'intérét
pour tous se qui compose habituellement notre vie :
les actes familier, les objets auxquels nous somme
normalement attachés, les personnes de notre entourage,
méme celles qui nous sont les plus chéres .
A se pessimisme et ce désinterét s'associent une lenteur
d'ésprit, un sentiment d'anxiété, de le fatigue, des troubles
du sommeil ey des douleur variées .
Tout cela aboutit à unétat de détresse qui fait naitr des
idées de suicide, pratiquement toujours présentes dans
un état dépressif .
Cette menace de mort fait toute la gravité de la dépression .
Un géste irréparable est d'autant plus regrettable qu'un
accées dépressif peut toujour guérir .
Ceci associé à l'immense douleur psycologique du
malade, justifie pleinement une sérieuse prise en charge .
La dépression est donc un déréglement de l'humeur
bien particulier, qui nécessite une assistance médicale
à l'inverse, il ne faudrait pas qualifier de tristesse,
de découragement passagers qui sont le lot de
chacun d'entre nous.

Malgré la popularité du QI les teste d'intelligence demeurent assez
mal connus, Certins pensent qu'ils permettent de dévoiler des
potentialités insoupçonnées, tandis que d'autres les jugent stupides,
certains les considérent comme des outils d'évaluation utile pour
diagnostiquer l'origine des difficultés rencontrées par les
personnes, tandit que d'autres estimes qu'ils servent surtout à
justifier les inégalités et sont socialement dangeureux.
Technique d' observation de conduites apparue il y a prés d'un
siécle, les teste d'intelligence sont trés divers, Ils ont été
utilisés avec des objectifs tout aussi varié et ont susité de
nombreux débbats.
Cet ouvrage précise le contexte dans lequel sont nés les tésts
d'intelligence, expose les principes et régles méthodologiques
de leur construction et présente les grandes catégories de tésts
actuellement en usage.
Il traite également des polémiques qui ont jalonné l'histoire
des tésts, de leur place dans les pratiques de psycologus
aujourd'hui et des problémes éthiques et déontologiques de
leur usage.
Lidée de mesurer l'intelligence était dans l'hair à là fin
du xlx éme ciécle, à lanaissance de la psychologie scientifique.
Le premier laboratoir de psycologie expérimentale est fondé à
Leipzig en 1879 par W.Wundt. Dans ce laboratoire, les les
rechérche portent surtout sur le processus sensoriels élémentaires.
On recherche par exemple à déterminer comment varie la
sensation en fonction, ou bien à évaluer la plus petite
différence d'intencité de la simulation qui puisse étre
détectée par les sujets, Ces experience conduisaient à faire
des mesures assez précises de diffirentents caracteristiques
des réponses des sujets, seuils de détection,
Temps de réaction et, à partir de ces caractéristiques,
on chérchait à inférer la nature des processus en jeu dans
la réponse àlasimulation.

Le marketing c'est des avantage concurrentiels, des bénéfices,
le besoin du client,le bouche a oreille
, le but et l'objectif de l'entrprise ou du commerciale, c'est le
changement, le client, la
communication et les promotion, concurrents, consultants,
créativité, Designe, Dévelopement
de nouveaux produits, Diffirenciation ,
Destribution et fourniture, Circuit de distribution,
Esprit d'entreprises, évaluation de la performance, éxecution et
controle, externalisation, la Fidélité avec
le cient, c'est la force de vente, des garantis aux cients, Gestion de la
relative avec le client, Information et analyse sur vos concurrents
, Innovation , faire des pub sur internet(a traver les courrier
électronic ciblée), Management,
La base de donner, buiseness to buisness, Experience, relation
avec le client, la marque, les Médias dans cértins cas,
Mission, Opportunités, Organisation, Orientation du client,
Parainnage, Positionnement de l'entreprise, Prévision de
l'avenire de la société, la Publicité, la
Qualité, le Role dans la compétance, la Satisfaction du
client, la Segmentation, le Service, la Stratégie de croissance,
prévoir le succés et l'échec, la Technologie,
Centre d'appel pour rensegner les clients, la Tendance et
la théorie de pratiqué, la Vente, Le Zeste, la Notification,
et enfin le prix.
Le marketing permet de se livrer concurrence en se battant sur
autre chose que sur le prix.
Il joue un role plus important que jalais lorsque les industriels
sont en situation de surcapacité;
Pour l'entreprise, le marketing, C'est l'atelier de fabrication
des clients;
Pourtant, dans les milieux d'affaires comme dans l'ésprit du
publique, il reste trés mal compris,
Les entreprises y voient un outil destiné à aider la production
à écouler ses stocks de produits finis;
A la vérité, c'est le contraire : la production n'éxiste que pour
servir le marketing, L'entreprise
peut toujours sous-traiter la fabrication de ses produits ;
en revanche, ce qui fait sa
prospérité, ce sont ses idées de marketing et ses offres, La
production, les achats, la recherche
et développement (R&D),       la finance et les autres fonctions
ne sont là que pour soutenir les
éfforts de l'entreprise sur le marché.
On confond trop souvent marketing et vente, alor que ces fonctions
sont aussi différentes que
possible, L'éxpression -hard sell marketing- que l'on peut traduire
par -marketing agressif-,
contien une contraction dans le térmes, Je n'ai rien à changer à
ce que j'en disais il y a déjà
fort longtemps : le marketing n'est pas l'art de trouver des
façons astucieuses de vous
débarrasser de ce que vous fabriquez.
C'est celuit de crée une authentique valeur pour le client, de
l'aider avivre mieux, Ses maitres
mots sont la qualité, le service et la valeur.
la vente ne commance qu'au moment ou l'on dispose d'un produit.
Le marketing commence avant méme qu'il n'éxiste, dés le travail
préparatoire auquel se livre
votre entreprise afin d'identifier se dont les gens ont besoin
et ce qu'elle pourraut leur offrire,
Il appartien également au marketing de déterminer comment lancer
le produit ou le service,
en fixer le prix, le distribuer, puit comment promouvoir les
offres sur le marché.
Ensuite, le marketing étudie les résultats obtenus et améliore
progressivement l'offre.
Enfin, c'est lui qui décide si et quand il convient d'y mettre fin.
Au total, le marketing n'es pas un éffort de vente a court
terme, mais un éffort d'investissement
à long terme.
Quand il et bien fait ce travail commenceavant que l'enteprise ne
fabrique un produit ou ne
pénétre un marché et se poursuit longtemps apré la vente.
Lester Wunderman, éminnence du marketing direct, aimait à
dépeindre le contraste entre le
marketing et la vente de la façon suinante :
Au temps de la révolution industriel, on entendait surtout
le refrain des fabrication : -voissi
se que je produit , qui veut l'acheter ?- Mais à l'étre de
l'information, c'est le consommateur
qui parle le plus fort et il dit : voici ce que je veux, qui
veux mpe le produire ?'
Idéalement, au terme d'un bon marketing, on comprend si bien
le client cible qu'il n'y a
plus besoin de lui (vendre) ses produits et services Peter
Drucker l'a résumé dans une
formulle admirrable : Le but du marketing, C'et de rendre la
vente superflue.